jeudi 8 novembre 2012

Votre Professeur ou Patron, vous Dit-il que vous N'Avez Pas le Temps de Lire Ceci?


Il m'est arrivée, quand j'ai brèvement offert la chance de lire mon blog et de me proposer un thème, qu'on m'a dit "je n'ai pas le temps".

Noter un URL et dire deux mots sur ce qu'on aimerait lire sur ce blog ne prend pas cinq minutes, même pas une.

Biensûr, c'est possible qu'il y a un courant général de se dire "on n'a pas le temps pour quoi que ce soit sauf de se nourrir convenablement en travaillant convenanblement pour un salaire convenable chez un patron pas trop inconvenable ou de s'y préparer en étudiant convenablement dans une étude convenable chez des professeurs pas trop inconvenables."

Si c'est ainsi, alors les patrons et professeurs qui véhiculent ce message ne sont pas des patrons ou professeurs très convenables.

Mais c'est aussi possible, et c'est ce que je crains, qu'il y a une campagne contre moi, contre mes blogs, contre la lecture de mes blogs, contre la valorisation financière de mes blogs*, contre la méditation sur des arguments proposés sur mes blogs, contre l'écoute des morceaux que je viens d'écrire, contre le changement culturel que je pourrais importer sauf pour ce que je suis bloqué par entre autres choses une campagne comme ça.

Si votre patron, votre professeur ou même vos parents sont autrement des gens honnêtes, mais qu'ils vous déconseillent de lire ou de republier sur papier en livres vendables et achetables* ou de jouer* et d'écouter ce que je viens d'écrire, alors ils vous demandent une obéissance dans un ordre malhonnête, puisque faisant partie d'une campagne malhonnête contre moi.

Une campagne contre moi peut se faire, éventuellement, si j'ai tort, de manière honnête aussi. Par exemple en débusquant des ambitions malhonnêtes chez moi et de les dénoncer, par exemple en débusquant une erreur logique dans les argumentations ou une erreur théologique dans ma doctrine et de les dénoncer. Mais cette manière là, de dire aux jeunes qu'ils n'ont pas le temps de regarder ce que je propose, est une manière fortement malhonnête.

La tactique de la terre brûlée ne se fait pas envers une pensée, avant de la dénoncer comme hérétique.

Hans-Georg Lundahl
Mairie du III, Paris
St Geoffroy, abbé
8-XI-2012

*J'offre le droit de publier non "sur compte d'auteur" puisque c'est mon droit étant moi-même auteur, mais "sur compte de lecteur enthousiaste ayant les moyens financiers de payer la publication." Et les moyens requis sont assez modestes pour une petite édition artisanale de quinze exemplaires (j'ai décrit la méthode à suivre). D'abord les conditions pour ceci, données sur le lien ci:

deretour : de retour : Conditions d'utilisations ultérieures
http://hglundahlsblog.blogspot.fr/2008/03/de-retour.html#conditions


Ensuite la méthode artisanale, en deux parties:

renvoi à mon site : Faire un cahier ou livre
http://hansgeorg.tchatcheblog.com/11223226/blog-article-faire-un-cahier-ou-livre.aspx


Faire un livre ou un cahier (suite)
http://hansgeorg.tchatcheblog.com/11223239/blog-article-faire-un-livre-ou-un-cahier-suite.aspx


Ensuite une remarque de simple bon sens: je propose effectivement à ceux qui voudraient bien ce genre d'affaire, mais je ne le requiers nullement de chaque lecteur. Un père peut se dire "mon garçon / ma fille n'a pas le temps pour cette aventure" que ça serait de quitter les études ou le travail pour se faire mon éditeur, mais il ne s'ensuit pas que le ou la jeune concerné(e) n'ait pas le temps de simplement lire le blog (c'est à dire de feuilleter les articlers qui paraissent intéressants) dans sa forme gratuite en ligne. Je ne perds rien par des gens qui ne font que d'utiliser les blogs dans l'utilisation primaire et gratuite. Je perds par l'absence des gens qui les utilisent selon mes licences pour "utilisations ultérieures", une absence qui résulte de cette campagne, que je viens d'évoquer dans l'article ci-dessus. Précisement comme Jeanne Smits ne perd rien sur les gens qui lisent son blog en ligne en gratuité totale, mais perdrait par une absence totale des gens qui lisent parfois les mêmes articles dans la forme imprimée dans le quottidien PRÉSENT.

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