mardi 27 novembre 2012

Enlevons un doute juridique s'il y en a qui en sont tracassés à propos de moi!

Question du droit, soulevé à propos une autobiographie posthume:
http://people.voila.fr/people/actu-stars/plus-de-people/delarue-le-litige-sur-son-autobiographie-lie-a-une-question-de-droits-people_4422709.html


L'ancienne compagne de l'animateur s'appuie sur le code de la propriété intellectuelle qui stipule, selon la mise en demeure, que c'est aux descendants d'un auteur que revient le droit de divulguer ses oeuvres posthumes, sauf volonté contraire de l'auteur.


Je trouve probable que si un auteur a donné un manuscrit à un éditeur mais le manuscrit n'a pas été publié pendant le vivant de l'auteur, c'est alors le geste même de donner le manuscrit qui constitue cette volonté primante sur celles des descendants.

Par contre, cette affaire vient dans le passage cité de soulever une question qui aurait pu être derrière des obstacles qu'on m'ait fait. On aurait pu prétendre - peut-être hypocritiquement - que nul éditeur ait un document prouvant ma volonté qu'il édite mes essais, que ce soit en français ou en anglais, que ce soit en France ou en Irlande ou encore ailleurs.

Au contraire: chaque éditeur qui veut publier quoi que ce soit de moi peut s'appuyer sur ma volonté très expresse existant déjà sur ce lien ci:

[blog] deretour, [message] de retour
[a linea] Conditions d'utilisations ultérieures
http://hglundahlsblog.blogspot.fr/2008/03/de-retour.html#conditions


Notons aussi que nul éditeur pourrait s'appuyer sur ça pour contester à un quelconque autre éditeur le droit de publier mes essais. Notons que j'ai extendu le droit de profiter de ceci à des éditeurs non-professionnels, en les donnant des astuces techniques pour produire un livre acceptable avec les services de photocopie.

Donc, chaque éditeur qui ré-édite mes essais sur papier - la première édition étant ma propre sur internet, demeurant gratuitement en ligne pour ceux qui lisent et demeurant en ligne comme première édition pour ceux qui voudraient ré-éditer - et qui me donne ou ne donne pas un droit- d'auteur volontaire est par là censé être en train de faire ma volonté. S'il ne me verse rien, il fait ma volonté à propos de mon œuvrer moins parfaitement qu'un autre qui me verse. Car celui-là fait ma volonté à propos de mon œuvre et à propos mon droit moral de vivre de mon œuvre. Celui qui publie sur papier et qui ne me verse rien fait ma volonté uniquement à propos mon œuvre.

Celui qui ni publie, ni verse d'argent, il fait encore ma volonté à propos de mon œuvre en lisant en ligne et en repandant s'il trouve mes écrits bons.

Celui qui ni publie, ni verse, ni lise ne fait pas ma volonté mais ne la contrarie pas.

Ceux qui la contrarient sont par contre ceux qui inventent des excuses pour empêcher d'autres physiquement ou moralement ou leur donnant des doutes fictices morales ou juridiques à propos leur droit vis-à-vis moi ou tierce part de lire, de ré-publier, de repandre mon œuvre.

Notons que pour une ré-édition un éditeur n'a pas besoin d'un manuscrit, ni d'une discette word, ni d'un dactyloscrit de l'auteur, il suffit d'une première édition (celle que je fournis en ligne, évidemment pour chaque essai, article, débat republié) et de l'accord de l'auteur (celui auquel je viens de donner le lien).

Vous voyez, l'illégalité ou l'imprudence ne donnant pas suffisemment de garanties juridiques, ça ne vient pas de moi, ça vient de mes calomniateurs et des calomniateurs de mon œuvre. À la limite que quelque débatteur dont je viens de copier les lignes dans ses débats avec moi (ce qui ne constitue nullement la majorité des articles, même en anglais) contesterait mon droit de républier en me faisant payer sans son accord ou sans qu'il ait la possibilité d'en profiter aussi. Mais là j'ai déjà noté cette exception sur les deux blogs les plus concernés par ce problème, qu'il faudrait contacter le co-auteur aussi, quand c'est possible. Si le co-auteur d'un débat est noté par nom et profile FB, allez-y sur FB le contacter. S'il est noté avec pseudo sur un forum, à la limite il s'est dévesti le droit d'empêcher la ré-publication de ses mots en les proférant sous l'anonymat d'un pseudo, autrement allez-y et contactez-le, s'il est encore là sous ce pseudonyme! Et s'il prétend que j'eusse déformé ses messages du forum du débat, en les coupant plutôt qu'en les citant dans un bloc, controntez-le avec ceci (d'un des deux blogs* concernés):

Assorted retorts from yahoo boards and elsewhere : What kind of editing I did ... and what kind of copy-pasting
http://assortedretorts.blogspot.com/2008/11/what-kind-of-editing-i-did-and-what.html


Mais il y a des gens qui ont inventé des excuses pour me priver et pour priver des jeunes éditeurs amateurs des fruits bien légitimes de mes efforts comme écrivain. Bon, après cet article ci j'espère qu'il se trouvent au moins avec une excuse de moins!

Hans-Georg Lundahl
Bibl. Château d'eau (Paris)
Sts Basile d'Antioche
avec Auxile et Saturnin
27-XI-2012

*Le blog HGL's FB Writings n'est concerné que par la partie des messages marquée par le libellé "debate":

http://hglsfbwritings.blogspot.fr/search/label/debate

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