samedi 17 mars 2012

Les immigrés proches de la psychiatrie.

Ce soir, à la queue de la soupe de St Eustache, le fil d'attente pour le café, je dois écouter une conversation entre deux noirs, probablement de l'Afrique de l'Est.

Il parlent de schizophrénie, de paranoïe, et encore:

"il faut faire attention, il y a des gens on ne sait pas ce qui se passe dans leur tête, il y a des gens qui croient que tout le monde leur veut mal."

Pour un groupe qui voudrait réellement du mal à quelqu'un, il est très commode d'avoir alerté des gens sur cette éventualité.

Encore il est très commode pour des Darwinistes que, pour les gens en commun, "paranoïde" veule dire quelqu'un comme ça, tandis que pour l'expertise un "délire" même sans le "délire de persécution" (qui n'est pas toujours un délire dans le cas des persécutés de la psychiatrie) peut compter comme symptome de paranoïe. Et qu'il y en a qui sont prêts à regarder le créationnisme jeune terre comme un délire, comme les croyances dans les légendes traditionnelles qu'on nomme parfois mythes.

Mais deux choses:
  • il s'agit souvent des gens de quelque forme issus de l'immigration islamique que j'entends parler des choses de la psychiatrie, pourtant des pieds-noirs et encore nationalistes soi-disant très soucieux de briser les si-dites dhimmitudes ne parelent pas souvent de la psychiatrie comme une forme de dhimmitude;
  • encore il y a ce dérive sécuritaire de "faire attention" et "il y en a on ne sait pas ce qui sepasse dans leur tête", tandis que jamais on ne sait ce qui se passe dans la tête d'autrui à moins qu'il l'exprime.


Hans-Georg Lundahl
BpI, le jour de St Patrick
17-III-2012

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