SI nous ne faisons pas d'avantage d'enfants, ALORS nous serons pour production et pour les soins et les reraites à donner aux vieux dépendants des immigrés.
J'ai aussi ajouté: MAIS nous ne pouvons pas dépendre des immigrés. Parce que, dès qu'ils seront suffisemment nombreux, ils se débarasseront d'un système qui a été commode pour eux - que nous l'avions eu. Un système qui finalement n'aura pas été commode pour nous. En certains cercles en Suède - peut-être pas inconnus à Madame Malmström, puisqu'elle est infirmière de psychiatrie et enseignante (aussi interprète) et puisque moi et ma mère nous avons eu affaire avec cette salopérie de psychiatrie suédoise (et moi personellement les enseignants aussi: je viens de décrier l'obligation scolaire) - en certains cercles en Suède on a pris cet ajout comme une paranoïe, une démonisation irrationnelle des immigrés.
Non, je ne reproche pas aux immigrés futurs un manque de civisme quand ils préfèrent faire enfants pour eux-même à payer les vieillards pour nous. Je leur félicite plutôt de ne pas être suffisemment stupide de croire au système social à la féministe. La femme n'a plus à s'occuper des vieux, l'état le fait. La femme n'a plus à s'occuper des petits, l'état l'autorise à n'en pas avoir tellement. Mais si les femmes cessent de faire des petits, les vieux deviendront de plus en plus un fardeau pour les jeunes, parce que les jeunes générations ne seront pas dans la même proportion vis-à-vis les retraités qu'avant. Quand je viens de dire que nous ne devons pas dépendre des immigrés, je leur attribue tout juste l'intelligence de ne pas être féministes, et en rien une méchanceté quasi démoniaque. Donc, ma conclusion demeure: faisons enfants.
Cette conclusion n'étant pas palatable à Madame Malmström, qui a 44 et des jumeaux avec son mari, qui en plus a dépensé, à part l'activité comme interprête, la plupart de sa vie active en dépensant ses penchants pour la maternité en activités payés par le patron-"état" - ou plutôt la commune pour l'école et le conseil régionale pour la psychiatrie - elle ne veut pas que les filles de notre pays soient redirigées à dépenser leur penchants de maternité et leur penchant pour la sexualité en devanant mères et femmes à foyer à un âge plus jeunes, elle veut alors risquer de dépendre des immigrés. Mais de là à m'accuser d'avoir fourni les Malmström avec une argumentation est faire abstraction qu'elle trouve la mienne impalatable.
On vient de me reprocher aussi d'être écologiste comme si c'était synonyme de carbo-dioxidophobe gaïalâtre voulant limiter la population humaine.
Je viens déjà de récenser comme "non prouvé" le chef-dœuvre de ce courant là** des écologistes.
On vient des Nouvelles de la France de mettre en ligne un article, assez bon autrement quand il s'agit de dénoncer "the climate scare" comme on dit en anglais, mais selon lequel aussi un de mes vrais idéaux écologiques serait même mauvais pour l'environnement.*** La préférence de manger local.
Bon, est-ce vraiment un choix moins bon pour l'écologie de manger local? L'article ne donne pas de raisonnement, il se contente de donner un lien. Par contre, j'ouvre le lien, et je trouve ... que les auteurs, anglophones, eux raisonnent selon le scénario que le menace à l'environnement et le surchauffement. Par dioxide de carbon. Car, chauffer les serres pour produire les tomates localement en Angleterre coûte plus en fioule que de les importer d'un pays où le soleil les chauffe suffisemment. Oh ... mais là il y a trois erreurs.
- manger ce qui vient du propre jardin, c'est encore plus locavore, et il y a en Angleterre et jusqu'en Malmö en Suède - à côté d'un endroit au nord d'Angleterre, Gothembourg serait à côté d'Édinbourgh - des coins abrités du vent et ensoleillés où le propriétaire de la maison ou du balcon peut cueillir ses tomates,
- être locavore implique aussi de préférer les légumes et fruits qui poussent chez un-même, si on vient d'Europe du Nord, est-on obligés de préférer bananes et dattes aux pommes et prunes, de préférer la tomate au céléri, et c.?
- et la quantité de fioule n'est pas la chose la plus importante pour savoir si l'environnement est sali, car le fioule brûlé en lui-même donne dioxide de carbon, une chose assez pure: le problème est quand il y a du plomb dans le fioule pour qu'il ne fasse pas rouiller les conduits de fioule dans une voiture ou un jet.
En plus l'article auquel on donnait le lien était internationaliste et profondement antiboulangiste. Vraiment un bon argumentaire pour les nationalistes français?
Allons plus loin. Le fioule ou l'électricité épargné dans les plus grands fours de Banette à Marseille ou de Pågens pas loin de Malmö, par rapport aux fours plus petits chez chaque boulanger, est-il au même de compenser le fioule de camion ou l'électricité pour les trains qui transportent Banette en toute la France ou Pågens en toute la Suède?
Mais encore: produire ses nécessités ailleurs que chez un-même veut dire qu'on ne les aura pas qu'en proportion de pouvoir fournir une marchandise d'échange. Et si cette marchandise n'est pas une nécessité, alors on risque de se trouver sans valeur d'échange le jour ou le luxe en question n'est plus souhaité, parce qu'ailleurs il y a la crise. Locavorité dans la mesure du possible est une recette pour éviter les crises économiques, pas juste pour ne pas salir la terre avec plomb par le fioule.
Il me semble - le même numéro* - que c'est à propos de ma lucidité qu'on vient de me traiter comme le petit Théo avec sa fameuse chaise à reflêchir. Bien, des années qu'on vient de me voler n'ont en rien changé ma conviction que l'élite suédoise et ses homologues ici et un peu partout, a tort. Je me demande pourquoi les parents de Théo auraient voulu le mettre en école plutôt qu'en apprentissage, s'ils avaient eu la liberté, comme pendant l'Ancien Régime. La démocratie locale - comme l'a souligné Maurras - fleurissait à l'époque. Et elle fleurissait parmi des boucher et des brasseurs qui avaient appris d'écrire et de compter et peut-être aussi le catéchisme principalement chez les bouchers et brasseurs parmi lesquels ils étaient en apprentissage.
Hans-Georg Lundahl
BpI Beaubourg
St Olivier Plunckett
12-VII-2012
*PRÉSENT 7641, jeudi 12 juillet 2012. Mélenchon vient de dire la même chose à propos les Arabes et les Berbers. Comme on s'en souvient. Ils veulent vraiment "Inder statt Kinder" (Indiens plutôt qu'enfants, un rêve pour certains entreprises de high tech) - et je suis pour le slogan "Kinder, nicht Inder".
**Voir Ichtiaque Rasool, Système Terre - "pas terrible ..."
http://hglundahlsblog.blogspot.fr/2010/09/ichtiaque-rasool-systeme-terre-pas.html
***...obligeons-nous à manger local (même si c’est mauvais pour Gaïa)...
Source: Bataille ultime : écolos contre écolos
http://www.ndf.fr/poing-de-vue/11-07-2012/bataille-ultime-ecolos-contre-ecolos
Le lien derrière les mots en parenthèse va vers un autre message qui va vers ce lien anglais:
Saturday, Jun 16, 2012 09:00 PM +0200
Eating local hurts the planet
By Pierre Desrochers and Hiroko Shimizu
http://www.salon.com/2012/06/16/eating_local_hurts_the_planet/singleton/
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