On vient de dénoncer l’œcuménisme. On vient de dire que si St Pie X était le Pape aujourd'hui, il ne condamnerait pas le modernisme, mais l’œcuménisme qui est son fruit. C'est possible qu'il condamnerait l’œcuménisme, mais pourquoi se lasser de condamner le modernisme ? Il est en plein vigueur en certains quartiers.
D'ailleurs il y a hélas un œcuménisme que les tradis ne dénoncent pas, mais qu'il pratiquent. L’œcuménisme dans le regard calomnieux sur quelqu'un. L’œcuménisme entre des bon bourges pharisaïques qui calomnient une même personne.
En Suède, ayant des convictions catholiques comme que quoi il y a un Dieu Tout-Puissant qui a réellement fait des miracles dont l'histoire dans les Évangiles et dans l'histoire de l'Église est réellement fiable, et comme un monde qui date d'il y a 7200 ans, comme le dit la Septante, et un vue sur péché et vertu que nous avons par l'Église et non par les expertises d'aujourd'hui, notemment en ce qui concerne le devoir d'avoir la vraie religion et le châtiment éternel des gens qui ne se soucient pas de la question comme s'ils étaient plus sages que Dieu et que l'Évangile, et en croyant que les préjugés courants en Suède, anticatholiques et anticonfessionnels, ne sont pas une excuse valable, parce qu'ils sont trop stupides pour excuser qui que ce soit, et notemment en questions de procréation aussi, le non-droit aux péchés contre la nature, y compris la masturbation, et le droit au mariage, dès l'âge canonique, donc le devoir de se garder de ces péchés, soit par grande ascèse, soit par mariage et par fertilité dans le mariage, et le droit de se défendre comme le faisaient les Jacobites d'antan et les Irlandais des républiques (celle de Owen Roe O'Neill comme celle d'Éamonn DéValera), ou comme les Chouans ou les Carlistes ou les Cristeros contre des pseudo-obligations étatiques (ou pseudo-étatiques) … avec des convictions comme ça, il y a eu des gens qui ont cru que j'étais fou là bas. Ils n'étaient pas Catholiques sauf à compter comme Catholiques des gens qui s'excusaient auprès des autres pour le fait de l'être. Mais la majorité n'en étaient pas Catholiques tout court.
Dans les mots de ces gens, bien que ça soit tragique, bien que ça ait donné occasion à des violences dans le passé – violences que je compte comme de ma part pleinement justifiées par les violences subies qui étaient injustes (notemment le 5 – II – 1998) – des mots comme « il est taré » ou « il n'est pas lui-même » prennent une certaine grandeur, quoique satanique.
Mais d'être taxé pour velléité quand je me trouve persécuté pour ce passé essentiellement, et encore de l'être par quelqu'un qui ne me connaît pas sauf le fait que je suis sdf, le fait que telle autre personne (qui dépend en dernier ligne des hérétiques qui m'ont persécuté en Suède et qui y persécutent encore ma mère et ma sœur ) me taxe pour velléité, et encore celui-là étant un prêtre catholique qui sur le papier serait prêt à souscrire chacune des thèses pour lesquelles la Suède m'a persécuté, là ça devient parodique.
On veut me « soigner » pour avoir l'occasion de m'influencer. On me taxe de faible de volonté, de je ne sais pas quoi, pour avoir des excuses pour me soigner, on embrigade même le public dans la tentative. « Donnez-pas à lui, il est alcoolique » ou « il a une fixe idée qu'il veut gagner argent sur ses écrits et ses compositions, mais il ne joue même pas un instrument et il n'écrit même pas sa langue maternelle correctement, soyez gentils avec lui mais n'allez pas trop loin » ou encore d'autres choses … et on ment tout aussi facilement à un prêtre catholique qu'aux autres, si on n'est pas très catholique un-même. Le parodique réside dans le fait qu'il y a des prêtres prêts à croire ça de moi.
Des prêtres qui sont prêts à taxer par exemple le géocentrisme que j'ai a mainte reprise proféré comme un manque d'esprit critique plutôt comme une position pleinement philosophique, pleinement catholique.
Des prêtres qui sont prêts à croire que je ne crois ça que grâce à quelque insufflation par quelque … que ça soit démon ou que ça soit maladie mentale … et que ce serait aussi par manque de volonté, par manque de courage d'être rationnel que je ne repousse pas ça.
Ils font pas exemple d'un grand critique eux-mêmes alors, vis-à-vis mes calomniateurs. Mais plutôt ils pratiquent malgré eux un œcuménisme avec mes harcéleurs que j'ai eus en Suède, des Protestants Bultmanniens, des gens comme Loisy, des Franc-Maçons aussi. Et ils imitent les quelques Musulman qui là-bas ont admiré mon geste de défense – jusqu'à trouver que je ne m'interessais pas pour devenir Muslime moi-même.
Pire encore, ils ne m'accusent pas ouvertment, ils manipulent les paroisses – St Nicolas du Chardonnet d'abord, c'était Xavier Beauvais, maintemant hier une paroisse sédisvacantiste – à imiter mes ennemis d'antan. Les gens qui veulent absolument que j'eusse quelque chose à soigner, parce que mes positions
LES rendent malades.
Un exemple : je viens de dire que l'abus du café est autant mal que celui de l'alcool. C'est vrai. Au moins du point de vue médical. Il y a eu comme représailles de côté Islamique le bruit que j'abuse le café. Pour vrai dire, on me laisse si peu de sommeil que j'en ai besoin.
La psychiatrie moderne repose sur privation de sommeil sournoise. On laisse quelqu'un dormir dix heures par nuit en lui donnant quelque salopérie après laquelle il a besoin de 14 heures par nuit. Vue que mes ennemis n'ont pas eu occasion de me soumettre à cette indignité là, ils font leur pire possible dans les circonstances, ils déconseillent aux gens de me laisser dormir dans leurs cages d'escalier. Et ils déconseillent aux gens de me donner du café pour compenser. À travers ces conseils, ils réussissent une partie de la torture qu'ils me feraient si j'étais en asyle de fous. Avec ça, ils produisent une vraie réaction de velléité, qu'ils prennent le lendemain comme excuse pour continuer de tamponner quelqu'un comme malade.
Et leur mobile premier est que j'ai constaté un décalage important entre le dit-on dans la société moderne et la Sainte Foi chrétienne et catholique. Et que j'ai pris ma position. Et que j'ai cherché, soit de convertir une-telle soit de trouver une-autre déjà Catholique, plutôt que de me contenter avec sexe et une copine carrément moderniste. Ou athée. Et peu interessée d'enfants. Sous-estimons pas combien il y a des Juifs qui auraient cette préférence et qui ont voulu me l'imposer. Quasi comme si mes origines de ce côté là m'obligeraient à plutôt avoir tort avec les Juifs que raison avec quelqu'un d'autre.
Le parodique est quand des curés catholiques traditionnels, ceux-même qui dénoncent l’œcuménisme, se font œcuméniques à propos une personne comme moi.
J'ai en effet une volonté, pas une tentation, mais une volonté, de ne plus avoir affaire avec des patrons après les fois que ceux-ci ont pris le rôle de figure paternelle sans me demander si j'en avais vraiment besoin. J'ai donc une volonté de me nourrir et de nourrir ma famille sur ce qui mes écrits et mes compositions me peuvent gagner, et de le faire sans m'engager dans un contrat exclusif avec tel ou tel éditeur. Il peut y avoir des épisodes par exemple dans les vendanges, comme il a pu, ou mes écrits pourraient soulever un interêt de moi comme instructeur privé en quelque matière. Mais me mettre durablement aux ordres d'un patron, et ceci avant même d'avoir une femme quand donc les machos me trouvent extra imbécile et extra facile à bizuter, non ça ne serait pas honnête de ma part. Pas après la vie que j'ai eue, pas après le rôle très peu honnête que leurs homologues ont joué dans mon passé.
Que personne ne pense donc à une quelconque velléité à propos de mon non-recherche d'emploi. Je m'emploie très bien dans l'écriture, merci, et dans la composition musicale aussi. Ou vous trouvez que les accords de
la dièse, si et ut dièse avec mi étaient trop hardis sur les dernières notes noires de quelques mesures (six sur 64), dans ma dernière composition ? Bien, je l'aurais peut-être évité avec un peu plus sommeil ou un peu plus café. Je les ai pas entendus, d'ailleurs.
Ce qui rappelle une autre forme de calomnie : les gens qui prétendent que parce que je ne joue pas d'instrument, alors je ne peux pas composer. La musique qui sonne bien ne serait pas, selon eux calculée. Uniquement sentie. Très vrai pour l'exécuteur, peut-être, mais pas de côté du compositeur. Je sais normalement ne pas mettre
la dièse, si et ut dièse avec mi partout dans me compositions, et je ne sais pas si le fait que
si était soutenu dans le contexte va sauver celle-ci. Mais je sais que ce n'est pas un trait de chacune de mes compositions. Je sais que si et la dièse sont à distance d'un demi-ton, et que les accords d'un demi-ton sont à éviter. On ne peut donc pas taxer mes compositions de produit d'incompétence à cause de ça. Et on ne doit pas continuer à refuser de laisser les gens essayer de jouer mes compositions et de gagner d'argent là-dessus et de me verser d'argent là-dessus.
C'est malhonnête de se ranger derrière cette calomnie aussi, bien qu'elle ne vienne pas des hérétiques, bien qu'elle vienne des bons catholiques mais qui surestiment le rôle du sentiment et de l'écoute dans la composition musicale.
À Saint-Nicolas du Chardonnet entre 2009 et 2010, trois filles de la paroisse et une autre dehors la paroisse ont eu la possibilité chacune à son tour de me prendre comme mari. Si c'est à cause uniquement de leur propre manque d'interêt pour moi, c'est une chose. Mais des choses comme la prêche hier et d'autres choses encore me font soupçonner que le conseil des confesseurs a joué dedans. Donc, qu'on m'a privé d'espoir de mariage sur je ne sais quelle excuse.
Là-dedans on a aussi pu être trop œcuméniques – plus précisemment avec les Juifs. Ayant reçu une éducation chrétienne et encore un peu pudique pour ça, je donne trop facilement aux Juifs qui se mêlent dans ma vie l'impression de ne pas être intéressé du mariage. Ce qui a pu jouer avec des Catholiques d'origine juive. Est-ce une raison pourquoi je devrais en être privé chez les autres Catholiques aussi ? Ou a-t-on fait quelque amalgame entre ma démarche sans contrats exclusifs et sur libre prix et une renonciation à toute propriété?
Hans-Georg Lundahl
La Clairière, Paris
Fête de Notre Dame de Carmel
16 – VII – 2012