Afghanistan n'a pas été la croisade qu'elle aurait pu être. On aurait pu dire: faire du christianisme, du prosélytisme chrétien, de la possession d'une Bible ou de la conversion chrétienne un délit est inacceptable, tout aussi que de continuer d'héberger Oussama Ben Laden. On aurait pu pacter avec les pouvoirs qui auraient réellement pu faire cette garantie, par exemple le roi qui aurait pu jurer ça en retour d'avoir son throne. Ça aurait pu tenir, être suffisemment acceptable à l'autre partie, car pas trop loin de leurs habitudes d'avant.
Là on aurait réparé l'erreur s'il en fut d'un ultimatum d'un genre déjà condamné dans les paix de Trianon et de St Germain en Laye à propos les gens qui cachaient et ceux qui voulaient poursuivre avec leur propre forces policières le meurtrier de François Ferdinand.
On ne l'a pas fait, on a préféré donner une leçon de quelque chose beaucoup plus flou, la démocratie moderne et la civilisation occidentale. Le grand plus, on a essayé d'améliorer en certaines domaines la situation des femmes. Mais ça n'a pas suffi pour faire une campagne qui tenait.
Maintenant, les soldats reviennent: un sourire et un café ce n'est pas trop. Surtout que les rébelles (qui et contre qui?) continuent à tuer, ils ont fait 4 morts samedi, malgré la retraite débutée./HGL
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